Dereck

Dereck




Âge : 20 ans Alignement : Chaotique neutre Allégeance : Neutre Fonction : Artiste ambulant Statut : Célibataire Domaine : Aucun, il est comme un vagabond Arme de Prédilection : Niveau : 7 Caractéristiques : Force : 13 Dextérité : 15 Constitution : 13 Intelligence : 14 Sagesse : 9 Charisme : 12

Comment êtes-vous ?

Description Physique :
Je peux déjà vous annoncer que je suis un humain. Après, que dire de moi... Je n'ai pas souvent regardé de quoi j'ai l'air, parce que je voyage sans cesse et les miroirs coûtent assez chers. D'après ce que je observe quand je me plonge dans les rivières pour ne pas repousser ceux qui doivent payer mon pain.
J'ai des cheveux blonds, virant sur le roux, que je n'arrête pas de couper parce que je ne veux pas qu'ils s'emmêlent. Ils sont ondulés et du coup, sans brosse, c'est un vrai enfer, dès les premières mèches trop longues. Et les couper avec un simple couteau de chasse donne souvent un massacre. Je marchande ma coiffure contre des petits tours de passe-passe à des jeunes femmes des villages que je visite.
Quant à mon visage, euh … J'ai des yeux bleus, de la couleur de la glace des hivers froids. D'autres me disent par contre que quand je danse avec le feu, ils virent au rouge. Mais ça, personne ne peut vraiment le confirmer. Mon nez est normal, assez discret pour moi, ma bouche me semble tout aussi ordinaire. Mon menton par contre est un peu carré. En fait, le simple défaut de mon visage est une cicatrice sur ma joue gauche, comme une trace de griffe, faite par un seigneur que mon père espionnait. Cet homme, Alak Dool a tué mon père et m'a marqué à vie. Trois traits sur ma joue gauche, je trouve cela horrible.
Pour le reste de mon corps, du haut de mon un mètre soixante dix-neuf, je me trouve plutôt grand. Et tout cela pour soixante kilos, un jongleur ne mange pas toujours à sa faim malheureusement. À force de sillonner les routes, mes jambes sont devenues acier, et mon métier a développer mes bras. Du coup, on me trouve assez agréable à regarder et certaines femmes me trouvent du charme.


Description Psychologique :
Ma vie ne tourne qu'autour d'un seul but : venger mon père.
Pourtant personne ne pourrait le penser quand on me voie en train de jongler, au milieu de la rue ou sur une place, que je porte un tel fardeau. On pense généralement que je suis un homme comblé ou simplement heureux de ma vie. Mais personne ne peut lire à travers la cage des flammes dans laquelle je m'enferme.
En fait je suis empli de rage. La colère d'avoir vu ma famille, mon père, tué par un seigneur. Et encore plus en colère car il m'a laissé en vie, voulant me faire vivre dans la honte. Parfois je me dis que j'aurais préféré qu'il me tue.
Mais j'ai encore foi en des idéaux qui parfois n'ont aucune valeurs, au yeux des autres. Le courage, l'honneur, la justice. Et pour me prouver qu'ils existent encore, il me faut m'occuper de Alak Dool. Mon père adoptif, que je nommais le vagabond, m'a surtout appris qu'il n'y avait qu'une chose à défendre dans la vie : la liberté. Et c'est pour cela que je vis tel le vagabond, comme un ''va-nu-pieds'', sans attache et libre. Un homme libre, ayant l'esprit tourmenté par la haine …
Ah oui, j'oublie, je suis un tantinet pyromane. Jamais je ne mettrais le feu à une maison, sauf peut-être celle d'Alak Dool mais je sais comment faire des spectacles à couper le souffle. Je veux toujours faire mieux, comme pour prouver que je peux inventer la magie de ma main. Mais tout cela n'est que mélange et illusion.
On me dit courageux de jouer ainsi avec le feu mais je me pense plutôt inconscient, ou totalement fou. Parfois, il est dur de discerner le courage de la folie.




Parlez-moi un peu plus de vous.

Histoire :
Ma mère, je ne l'ai jamais connu, elle est morte à ma naissance. Je ne me souviens même pas de son nom, ni de son visage. Par contre je me souviens, de son odeur. Un mélange de lavande et de rose.
Mon père, Vadamar Lyrr, était un espion, un informateur alors au service de je ne sais plus qui.
En revanche,je me souviens de sa dernière mission, celle qui détruisit ma vie entière.
Vadamar a été envoyé comme espion pour observer les faits et gestes du Baron Alak Dool. Il s'introduisit dans la demeure d'Alak en se faisant passer pour un jardinier et moi je vivais comme les autres enfants de ceux qui travaillaient pour lui, c'est à dire libre. Nous y avons vécu pendant un temps, sans problème. Pour être franc, j'étais heureux pendant cette période de ma vie, parce que j'étais avec mon père, presque en permanence. Et mine de rien, avec la fonction de mon père, ça n'arrivait pas si souvent que je le voulais.
Mais le Baron était légèrement plus malin que mon père l'avait cru. Et une toute petite erreur de sa part signa son arrêt de mort. Alak Dool le convoqua avec moi, tard le soir, dans sa salle de réunion. Il exposa la situation, d'abord en étant mystérieux puis il explosa de rage. Sa main s'empara de la lame à sa ceinture et il l'exécuta devant moi, le transperça sous mes yeux. Mon père mourut en me regardant, souriant. Alak repoussa le corps encore tiède de mon père de son pied. Il râlait, contre le sang qui tachait sa lame. Il fit un grand mouvement de bras, le sang alla se plaquer sur le mur en une fine ligne de sang. Puis son regard se reporta sur moi. Et la lame fut dirigée vers moi, menaçante pour l'enfant que j'étais. J'avais peur, j'étais petit et totalement terrifié. Il me regardait avec mépris puis posa sa lame sur mon visage. Trois fois la lame glissa sur ma jour et mon cou fut poisseux de sang. Mais durant ma punition, je ne pleurais, ni ne demandais à l'aide. Il en fut surpris, aussi agacé et le coup du pommeau de sa lame contre mon crâne fut la dernière chose dont je me souvienne le concernant avant ma nouvelle vie.

Ce que je vis en premier quand j'ouvris les yeux, ce fut le vagabond. Un grand homme penché sur mon corps meurtri, laissé au bord d'une route d'un pays inconnu. Ses cheveux longs et emmêlés, son visage bruni par le soleil et la poussière des routes, ses yeux bienveillants. Je sus tout de suite qu'il pourrait m'aider.
À cette époque, j'avais oublié ce qui s'était passé, une sorte d'amnésie traumatique. Mon père, la mission, le Baron Alak Dool. Ma vie avait été comme effacé d'un coup de tissu.
Et le vagabond se comporta comme un père. Il m'éleva, me nourris, m'enseigna les us et coutumes des pays que nous parcourions ainsi que toutes les légendes. Car, si mon père parcourait ainsi les pays, c'était parce qu'il était un artiste que tous le connaissaient. Il avait dût passer plusieurs fois par tous des domaines et les cités de tout Northworld. Les gens du métier l'accueillaient chaleureusement, comme un mentor. Les plus jeunes lui demandaient de l'aide, les autres des nouvelles. Il était comme un messager entre les saltimbanques fixes des cités. Nous vivons sur la route, en vagabond. En liberté quoi. j'ai vécu dans cette cage d'or en confiance.
Pendant nos voyages, le vagabond m'appris son art et bien vite l'élève dépassa le maitre. Car en plus d'enflammer les outils de jonglage en plongeant des mèches bien serrés dans de l'huile noire pour allumer le bâton ou mes autres instruments, j'ajoutais des ingrédients. Parfois du mercure pour rendre mon feu vert, ou de la poudre de fer pour produire des étincelles durant le numéro. Je ne peux m'empêcher de tester et d'essayer de nouvelles choses. Le vagabond en étais fier, je commençais d'ailleurs à avoir une réputation au moins aussi égale que la sienne.
Et bien vite, on me donna un surnom : Doigt de Fée, le jongleur magicien.

Ma vie aurait continué ainsi si le vagabond n'avait pas passer l'arme à gauche.
Et que je vois Alak Dool de mes propres yeux. Tous mes souvenirs me sont revenu en mémoire, le meurtre, mon humiliation, ma cicatrice.
Je me suis enfuis ce jour là. C'était un festival, donné en l'honneur d'un mariage entre barons ou autre chose. Et en ce jour de la fête où le Baron était présent. Mes instruments enflammés à la mort, ma mémoire a explosé dans mon crane. Tout, tout est revenu. Et je me suis enfui en courant, sous le choc. Car je ne pouvais pas m'en prendre à lui, avec mes armes de feu, sous les yeux de toute la populace. Ça aurait signé mon arrêt de mort avant que je ne l'ai atteins. Bref maintenant je cherche à le retrouver, à en finir. Je parcoure le monde à la recherche de moyens de le tuer. Il se déplace souvent et jamais je n'arrive à le rejoindre avant qu'il ne disparaisse à jamais dans une de ses autres demeure. Et je veux surtout que mon père repose en paix




Derrière l'écran se cache...


Pseudo : Salamandre
Âge : 16 ans
Comment avez vous découvert le forum ? : j'en sais trop rien, je cherchais et j'suis tombé dessus =) [/b]
Des commentaires ? : j'aime bien, ça change =)
[b]Avatar : Shawn Ashmore
Avez vous signez le règlement ? : c'est fait

Et si tu pouvais éviter de tout mettre en gras également, ce serait encore plus lisible ^^
Merci^^

bah c'est le code qui le met comme ça, j'ai rien fait

mais je vais rectifier

En fait, il faut écrire après les balises, c'est pour ça.
Par exemple
Histoire : et là tu racontes ton histoire
donne

Code:

[b]Histoire :[/b] et là tu racontes ton histoire

Gloups ....

Mince, j'étais sur de bien les avoir calibré les points --'' , je m'en occupe tout de suite

du coup, oui je me suis mieux débrouillé avec la fiche, mais j'ai passé l'aprèm de mon dico et bescherelle ( et j'suis étonné d'avoir laissé passer des fautes o0)